Humanumérique : Différence entre versions
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− | Genèse 3,7. "Alors leurs yeux à tous deux s’ouvrirent et ils se rendirent compte qu’ils étaient nus. Ils attachèrent les unes aux autres des feuilles de figuier, et ils s’en firent des pagnes" | + | ''Genèse 3,7. "Alors leurs yeux à tous deux s’ouvrirent et ils se rendirent compte qu’ils étaient nus. Ils attachèrent les unes aux autres des feuilles de figuier, et ils s’en firent des pagnes". |
− | [[Une erreur féconde du mathématicien Henri Poincaré]] | + | |
+ | :Dès l'abord l’œuvre de la main (''mécanique'') de l'homme a été de lui fournir la capacité pratique de sa "'''vicariance'''<ref> ([https://www.cnrtl.fr/definition/vicariance TLFi] vicariance : ce qui supplée à l'insuffisance fonctionnelle d'un organe. Comme il est dit du vicaire, le vicariant tient — [https://lesdefinitions.fr/fonctionnel fonctionnellement] — la place d'un autre. En physiopathologie humaine sont dits vicariants des organes dont l'entrée en action, en situation de déficit biologique, permet de compenser un risque d'insuffisance fonctionnelle.</ref>" sociale ou artificielle de ce qui biologiquement lui manquait. | ||
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+ | :Nous en sommes venu, à la suite de l'"[[Une erreur féconde du mathématicien Henri Poincaré|erreur féconde du mathématicien Henri Poincaré]]" (1889) au besoin d'une vicariance "plus machina", de niveau numérique, capable de nous aider à mieux connaître, savoir, comprendre et maîtriser la "sapience" <ref> sapience : savoir livresque, aujourd'hui numériquement dynamique et transdisciplinaire.</ref> à laquelle le ''sapiens'' du XXe siècle est parvenu. | ||
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+ | :L'ubiquité pervasive de cette vicariance nous conduit à assumer une "humanumérique" [https://fr.wikipedia.org/wiki/Humanit%C3%A9s_num%C3%A9riques intellectuelle] et comportementale d'"homo plus machina (numerica)". | ||
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Version actuelle en date du 10 juin 2020 à 11:21
Genèse 3,7. "Alors leurs yeux à tous deux s’ouvrirent et ils se rendirent compte qu’ils étaient nus. Ils attachèrent les unes aux autres des feuilles de figuier, et ils s’en firent des pagnes".
- Dès l'abord l’œuvre de la main (mécanique) de l'homme a été de lui fournir la capacité pratique de sa "vicariance[1]" sociale ou artificielle de ce qui biologiquement lui manquait.
- Nous en sommes venu, à la suite de l'"erreur féconde du mathématicien Henri Poincaré" (1889) au besoin d'une vicariance "plus machina", de niveau numérique, capable de nous aider à mieux connaître, savoir, comprendre et maîtriser la "sapience" [2] à laquelle le sapiens du XXe siècle est parvenu.
- L'ubiquité pervasive de cette vicariance nous conduit à assumer une "humanumérique" intellectuelle et comportementale d'"homo plus machina (numerica)".
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- ↑ (TLFi vicariance : ce qui supplée à l'insuffisance fonctionnelle d'un organe. Comme il est dit du vicaire, le vicariant tient — fonctionnellement — la place d'un autre. En physiopathologie humaine sont dits vicariants des organes dont l'entrée en action, en situation de déficit biologique, permet de compenser un risque d'insuffisance fonctionnelle.
- ↑ sapience : savoir livresque, aujourd'hui numériquement dynamique et transdisciplinaire.