SitrepFAQ

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Chers camarades,

Sont introduites ici des questions posées au sujet du cercle Sitrep65 : son contexte et son propos, la modélisation et les soucis de ses contenus, les méthodes d'utilisation suggérées.



Contexte

Jean Taillardat décrit le besoin auquel il est ici souhaité répondre, comme une "envie de partager avec des personnes côtoyées et appréciées dans nos jeunes années, lorsque nous étions tous curieux, ouverts sur le monde, voir rebelles."

Ceci soulève la triple question du quoi, du comment et du pourquoi.

Quoi ?

Le dictionnaire de l'Académie donne quatre sens à "partager" :

  • Diviser quelque chose en parts ;
  • Avoir une part, avoir droit à une part, ou prendre sa part d'une chose ;
  • Donner quelque chose en partage à quelqu'un ;
  • Diviser un tout en parties distinctes.

Il semble que le contexte n'ait de sens que ce qui est partagé est un échange où chacun puisse partager ses savoirs et ses opinions.

Comment ?

Dans un premier temps l'on peut ici déduire quelques indications :

  • en mode numérique,
  • en tirant si possible, avantage des solutions complémentaires à ce mode,
  • et en évitant l'insécurité et les complications.

Pourquoi ?

Le but de l'échange est-il :

  • poïétique (incitation aux développements de pensée par chacun de ses participants), ou
  • apologétique (ambition d'une convergence enrichie commune) ?

Ou les deux, selon la profondeur des thèmes abordés : pour une base référentielle commune pour des explorations complémentaires ?


Sujets à explorer ?

Nous sommes ici confrontés à divers points de réflexion, parmi lesquels l'on peut identifier (liste non exhaustive !) :

  • la possibilité, pour les citoyens du numérique, d'une politie (système politique qui serait le meilleur selon Aristote qui analyse trois types possibles de gouvernement : celui d'un seul par la royauté dont le versant négatif serait la tyrannie, celui de quelques-uns qui serait l'aristocratie dont la corruption donnerait l'oligarchie, celui du plus grand nombre qu'il nomme politie et dont la forme viciée serait la démocratie). Par là, ce site est lui-même un sujet politique clé de son propre débat et de nos stratégies citoyennes personnelles.
  • l'architecture technique que je[1] bricole pour la liste en65.fr. Ceci participe de la recherche d'une "nouvelle" capacitation informatique citoyenne (en fait ce que j'ai tenté de mettre en place au départ, mais auquel le "complot régalien" s'est opposé (pour des raisons alors compréhensibles) en 1986; nous empêtrant dans l'internet actuel. Ce qui expliquera bien des difficultés que nous rencontrerons à vouloir faire simple, mais aussi des possibilités nouvelles que nous pourrons explorer.
  • la nomologie de ce type de site, pour nous, les autres promos, la recherche hors murs, les séniors, et chacun (lois, règles, pratiques jurisprudence, etc.) qui est incertaine en raison même des débats légaux, de politie et de société actuels, ceux que nous voulons ici aider.
  • les aspects culturels du village global car nous souhaitons nous appuyer sur une unité historique, mais aussi l'étendre à des invités qui ne partagent pas notre mnème, en plus des ajouts de nos post-marinades respectives.
  • l'innovation cérébrique, c'est à dire l'observation à l'échelle du vécu personnel de la manière dont nous tirerons le meilleur parti de l'extension de l'"autopoïétique" humaine dans laquelle, mine de rien, nous vivons. A nous confronter à une pratique de l'échange s'appuyant sur le dit (millions d'années) et l'écrit (3 milliers d'années), mais aussi sur le "commit" (en cours).

Ce que nous explorerons en plusieurs phases, la première étant l'activation de cette liste. Les suivantes étant discutées peu à peu à partir de l'expérience et des possibilités logicielles et servicielles (pour les fichiers que nous voudrions partager, selon une procédure à discuter, l'adresse internet http://borda.en65.fr est à notre disposition).

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  1. Le Grand "C".