Pas de papotis pour les Pachas : Différence entre versions

De EN65
Aller à : navigation, rechercher
Ligne 18 : Ligne 18 :
  
  
Ce qui se passe - selon ma vision des choses - est que la compréhension de la réalité n'était pas allée au bout de son socratisme, après le néo-platonisme de Saint Augustin et le néo-aristotélisme de Saint Thomas. Il a fallu six siècles de maturation pour faire la différence entre "complication" (contre laquelle s'est élevé Occam) et "complexité" (dont nous n'avons pas bien encore compris la texture). L'officialisation de cela s'est faite le 21 janvier 1889 par l'attribution du prix mathématique du Roi de Norvège (et Suède) à Henri Poincaré (travail sur le problème à 'n corps') officialisant (le Covid nous montre le poids des Etats dans la science) l'introduction du chaos, la complexité et l'incertitude, prélude à l'affirmation de la subsidiarité, au quantique, à la relativité restreinte/générale, puis de l'incomplétude mathématique. Et par là, la nécessité de la machine de Turing et à l"en-réseau" numérique dont la vicariance de nos cerveaux est nécessaire à nos compréhensions.
+
Ce qui se passe - selon ma vision des choses - est que la compréhension de la réalité n'était pas allée au bout de son socratisme, après le néo-platonisme de Saint Augustin et le néo-aristotélisme de Saint Thomas.
  
Une fois munis de tout cela nous devons faire le point. Et cela nous montre que nous avons dépassé l'équateur de la logique pour rentrer  dans l'hémisphère de l'agorique. "Agorique " Qu'est-ce acco ?
+
Il a fallu six siècles de maturation pour faire la différence entre "'''complication'''" (contre laquelle s'est élevé Occam) et "'''complexité''" (dont nous n'avons pas bien encore compris la texture). L'officialisation en a été faite le 21 janvier 1889, par l'attribution du prix mathématique du Roi de Norvège (et Suède) à '''Henri Poincaré''' (travail sur le problème à 'n corps') officialisant (''le Covid nous montre le poids des Etats dans la science'') l'introduction du '''chaos''', de la '''complexité''' et de l''''incertitude''', prélude à l'affirmation de la subsidiarité, du quantique, des relativités restreinte/générale, et de l'incomplétude mathématique. Et, par là, la nécessité de la machine de Turing et étendue par l"en-réseau" numérique pour la vicariance de nos cerveaux écessaire à nos compréhensions.
  
C'est notre nouvelle compréhension de l'univers qui nous semble d'évidence (multitude d'entités complexement interliées), mais à laquelle nous ne donnons son nom encore que de-ci de-là. Le Pr Christophe Roche (le patron français [AFNOR] de la standardisation terminologique à l'ISO) essaye de faire comprendre à tous que l'interdisciplinarité commence par une terminologie commune. Cf. La citation de Camus sur le mal nommage des choses.
+
Une fois munis de tout cela nous devons faire le point. Et cela nous montre que nous avons dépassé l'équateur de la logique pour rentrer  dans l'hémisphère de l'agorique.  
  
Je l'ai personnellement rencontrée professionnellement dans l'invention du Cloud à la fin des années 70 : toutes applications du cloud sont de même autonomie et peuvent échanger entre elles avec une même puissance. Comme tout homme sur son agora peut échanger avec tout autre (fors les règles régaliennes mises en place), et ses avis avoir un impact ..., pour autant qu'il ne soit pas mathématiquement (cf. Mémoire de 1714 du Chevalier Borda !) bridé par le mode de scrutin établissant le peuple (la classe des utilisateurs ayant accès et de quelle manière au groupe des machines à voter) au sein de la multitude (la foule locale). C'est en ce sens que "le peuple est le souverain" et que la "révolution est une sédition de la multitude envers le peuple" (Hobbes).
+
==="Agorique " Qu'est-ce acco ? ===
  
Aidé ou gêné par le mode de scrutin, la technocratie, etc. l'expression "agorique" (de tous autonomes, selon les accords et désaccords) va bien ou moins bien conduire à un paradigme multiconsensuel qui sera de décision commune. La mécanique marine est celle la délégation du Département au Commandant, ou - chez les Pirates - l'accord au sein de l'équipage. L'intérêt de la culture marine est que c'est celle du "clan" (homme premier, avant de sortir de la forêt), puis des concentrations lors des changements (l'homme providentiel est en fait un "pacha"). On est tous embarqués dans le même (e-)barlu. Cela relève du bon vieux Aristote : le tout est supérieur à la somme des parties : on met toutes les parties ensemble, on agite, et il en émerge la soupe paradigmatique nouvelle (théorie de l'auto-organisation critique, ou des catastrophes) selon la nomologie (ensemble des règles et lois juridico-scientifiques) nouvelle;
+
C'est notre nouvelle compréhension de l'univers qui nous semble d'évidence ('''multitude d'entités complexement interliées'''), mais à laquelle nous ne donnons son nom encore que de-ci de-. Le Pr Christophe Roche (le patron français [AFNOR] de la standardisation terminologique à l'ISO) essaye de faire comprendre à tous que l'interdisciplinarité commence par une terminologie commune (Cf. La citation de Camus sur les conséquences du mal nommage des choses).
  
Toutefois, l'ennui est que plus il y a de parties, plus c'est difficile. Or - comme tu le soulignes - notre promo représente un bassin de compétences, expérience, relations mutuelles qui se retrouve "55 ans après" : il me paraît qu'elle a la maturité pour non pas en débattre, mais en apprendre avant les autres, et aider. Quand tu es costaud, tu as de la puissance, mais si tu crées un groupe de costauds organisé tu en tires un pouvoir.
+
Je l'ai personnellement rencontrée professionnellement dans l'invention du Cloud à la fin des années 70 : toutes les applications du cloud sont de même autonomie et peuvent échanger entre elles avec une même puissance. Comme tout homme sur son agora
 +
* peut échanger avec tout autre (fors les règles régaliennes mises en place),
 +
* et ses avis avoir un impact ..., pour autant qu'il ne soit pas mathématiquement (cf. Mémoire de 1714 du Chevalier Borda !) bridé par le mode de scrutin '''établissant le peuple''' (la classe des utilisateurs ayant accès et de quelle manière au groupe des systèmes de vote) au sein de la multitude (la foule locale).  
  
Or nous sommes une somme de puissances sociétales diffuse, issue de nos noèses individuelles (capacité de penser) due à notre  formation et à notre contexte communs. Je pense que, ensemble, nous avons une capacité de "co-noèse", penser ensemble. Là notre puissance devient un pouvoir de fait. Qui dit pouvoir dit devoir. Le devoir qui nous réunis est de con-réfléchir (confléchir) entre nous (circonfléchir) sur la manière dont notre expérience navale du collectif structuré (navire, flottille, PA, interallié) peut et doit apporter à la manière de traiter l'incertitude (ce qu'est en fait le chaos) dans le contexte diginumérique de la société (promo, famille, entreprise, nation) parce que nous pouvons le discuter et l'expérimenter diginumériquement entre nous.
+
C'est en ce sens que "le peuple (représenté) est le souverain" et que la "révolution est une sédition de la multitude (des non-représentés) envers le peuple" (Hobbes).
  
Simplement parce que nous avons entre nous plus d’atomes mentaux crochus que la moyenne humaine mondiale. Et donc que nous correspondons à un espace d'échange de travail préoptimisé.
+
Aidé ou gêné par le mode de scrutin, la technocratie, etc. l'expression "agorique" (du poids de tous les autonomes, selon les accords et désaccords) va - bien ou moins bien - conduire à un paradigme multiconsensuel qui sera de décision commune "tous tiers considérés".
  
Je crois que c'est cette capacité de travail en cercles d’expertises numériques de culture et expérience communes, hors des contraintes budgétisées des autres environnements de recherche qui donne au "hors murs" http://frhm.fr/index.php/La_science_citoyenne_%C3%A0_l%27%C3%A8re_de_l%E2%80%99Internet sa capacité de progrès et innovation "inaccessible" aux autres contextes de recherche. Et à commencer par l'analyse des pré-requis humanumériques (collusions cerveaux/machines) que nous avons à vivre (et pas seulement calculer). C'est en ce sens que nous devons passer de la raison logique supportée par la machine de Turing, à la raison numérique où le modèle naturel de référence n'est plus une synapse de calcul oui/non, mais des qualia (ce qui est ressenti) et des mèmes (embryons de pensée) : empathiquement "se mettre à la place" du décideur et comprendre comment il pourrait être aidé/remplacé par un cobot informatique.
+
La mécanique "marine" est celle la délégation du Département, ou de l'armateur, au Commandant, ou - chez les Pirates - l'accord au sein de l'équipage. L'intérêt de la culture marine est que c'est, au quotidien, une culture de "clan" (comme l'était l'homme premier, avant de sortir de la forêt, puis des partis lors des changements : l'homme providentiel est en fait un "pacha"). Tous sont embarqués dans le même navire/(e-)barlu.
 +
 
 +
S'applique alors le dicton du bon vieux Aristote : le tout est supérieur à la somme des parties : on met toutes les parties ensemble : on apareille, et il en émerge néessairement une paradigmatique nouvelle (''théorie de l'auto-organisation critique, et des catastrophes'') selon la nomologie (''ensemble des règles et lois juridico-scientifiques'') nouvelle;
 +
 
 +
Toutefois, plus il y a de parties, plus l'émergence prend du temps. L'intérêt est donc d'expériementer sur des agoras réduites.
 +
 
 +
Or - comme tu le soulignes - une promo représente un bassin d'une centaine de compétences, expériences, relations mutuelles qui se retrouvent "55 ans après" : il me paraît qu'elle a la maturité pour, non pas en débattre, mais en apprendre en restreint les uns des autres autres, et peut-être aider en général.
 +
 
 +
Par ailleurs, quand tu es costaud, tu as de la puissance. Mais si tu crées un groupe organisé de costauds, tu en tires un pouvoir.
 +
 
 +
=== du pouvoir/devoir sociétal ===
 +
 
 +
Or nous sommes une somme de puissances sociétales diffuses, issues de nos noèses individuelles (capacité de penser) due à notre  formation et à notre contexte communs. Je pense que, ensemble, nous avons une capacité de "co-noèse", de penser-ensemble. Là notre puissance devient un pouvoir de fait, pouvoir d'énnoncer un apport utile au futur. Qui dit pouvoir dit devoir.
 +
 
 +
Le devoir qui nous réunis est de con-réfléchir (''confléchir'') entre nous (''circonfléchir'') sur la manière dont notre expérience navale de collectifs structurés (''navire, flottille, PA, interallié'') peut et doit apporter à la manière de '''traiter l'incertitude''' (ce qu'est en fait la complexité au point d'apparaitre comme un chaos) dans le contexte diginumérique de la société actuelle (promo, famille, entreprise, nation), parce que nous pouvons le discuter, l'expérimenter et l'inter-apprendre diginumériquement entre nous.
 +
 
 +
Simplement parce que nous avons entre nous plus d’atomes mentaux crochus que des foules au hasard (ochlocratie). Et donc que nous correspondons à un espace d'échange de travail préoptimisé, et encore capables d'armer nos "e-canots".
 +
 
 +
Je crois que c'est cette '''capacité de travail en cercles d’expertises numériques''' de culture et expérience communes, hors des contraintes budgétisées des autres environnements de recherche qui donne au "hors murs" http://frhm.fr/index.php/La_science_citoyenne_%C3%A0_l%27%C3%A8re_de_l%E2%80%99Internet sa capacité de progrès et innovation "inaccessible" aux autres contextes de recherche.  
 +
 
 +
A commencer par l'analyse des pré-requis humanumériques (collusions cerveaux/machines) que nous avons à vivre (et pas seulement calculer) en commun avec nos "plus machina".  
 +
 
 +
C'est pour cela que nous devons passer de la raison logique supportée par la machine de Turing, à la raison numérique où le modèle naturel de référence n'est plus une "synapse de calcul oui/non", mais des qualia (ce qui est ressenti) et des mèmes (embryons de pensée) pour se mmattre  empathiquement "se mettre à la place" de ce qui décide, et comprendre comment il peut être aidé/remplacé par un cobot numérique.  
  
 
<br/>
 
<br/>

Version du 20 janvier 2021 à 18:32


Ce que nous voulons ici supporter, ce sont des solutions pour constuire en commun, non pas seulement pour partager du "papotis" personnel.

Cette analyse répond à ceux qui veulent s'assurer qu'ils partagent le même souci.


Non pas des débats, mais de la conoèse

Tu [1] as déjà énoncé le point de base (que d'autres partage) :

  • tirer avantage d'une "éminente et distinguée compagnie" [je réentre la "distinction" (volontaire) au sein de la compagnie, en fonction des thèmes abordés et des méthodes d'approfondissement]
  • par simple échange de courriels (mon point étant que le "simple" échange est technologiquement brimé et sous-développé - en partie volontairement [ce n'est pas de la théorie du complot, mais un fait stratégique passé et pérennisé très compréhensible, - tant Français qu'US - qui nous donne une certaine marge d'optimisation].
____
  1. Celui à qui cette réponse était initialement destinée.




Ce qui se passe - selon ma vision des choses - est que la compréhension de la réalité n'était pas allée au bout de son socratisme, après le néo-platonisme de Saint Augustin et le néo-aristotélisme de Saint Thomas.

Il a fallu six siècles de maturation pour faire la différence entre "'complication" (contre laquelle s'est élevé Occam) et "complexité" (dont nous n'avons pas bien encore compris la texture). L'officialisation en a été faite le 21 janvier 1889, par l'attribution du prix mathématique du Roi de Norvège (et Suède) à Henri Poincaré (travail sur le problème à 'n corps') officialisant (le Covid nous montre le poids des Etats dans la science) l'introduction du chaos, de la complexité et de l'incertitude, prélude à l'affirmation de la subsidiarité, du quantique, des relativités restreinte/générale, et de l'incomplétude mathématique. Et, par là, la nécessité de la machine de Turing et étendue par l"en-réseau" numérique pour la vicariance de nos cerveaux écessaire à nos compréhensions.

Une fois munis de tout cela nous devons faire le point. Et cela nous montre que nous avons dépassé l'équateur de la logique pour rentrer dans l'hémisphère de l'agorique.

"Agorique " Qu'est-ce acco ?

C'est notre nouvelle compréhension de l'univers qui nous semble d'évidence (multitude d'entités complexement interliées), mais à laquelle nous ne donnons son nom encore que de-ci de-là. Le Pr Christophe Roche (le patron français [AFNOR] de la standardisation terminologique à l'ISO) essaye de faire comprendre à tous que l'interdisciplinarité commence par une terminologie commune (Cf. La citation de Camus sur les conséquences du mal nommage des choses).

Je l'ai personnellement rencontrée professionnellement dans l'invention du Cloud à la fin des années 70 : toutes les applications du cloud sont de même autonomie et peuvent échanger entre elles avec une même puissance. Comme tout homme sur son agora

  • peut échanger avec tout autre (fors les règles régaliennes mises en place),
  • et ses avis avoir un impact ..., pour autant qu'il ne soit pas mathématiquement (cf. Mémoire de 1714 du Chevalier Borda !) bridé par le mode de scrutin établissant le peuple (la classe des utilisateurs ayant accès et de quelle manière au groupe des systèmes de vote) au sein de la multitude (la foule locale).

C'est en ce sens que "le peuple (représenté) est le souverain" et que la "révolution est une sédition de la multitude (des non-représentés) envers le peuple" (Hobbes).

Aidé ou gêné par le mode de scrutin, la technocratie, etc. l'expression "agorique" (du poids de tous les autonomes, selon les accords et désaccords) va - bien ou moins bien - conduire à un paradigme multiconsensuel qui sera de décision commune "tous tiers considérés".

La mécanique "marine" est celle la délégation du Département, ou de l'armateur, au Commandant, ou - chez les Pirates - l'accord au sein de l'équipage. L'intérêt de la culture marine est que c'est, au quotidien, une culture de "clan" (comme l'était l'homme premier, avant de sortir de la forêt, puis des partis lors des changements : l'homme providentiel est en fait un "pacha"). Tous sont embarqués dans le même navire/(e-)barlu.

S'applique alors le dicton du bon vieux Aristote : le tout est supérieur à la somme des parties : on met toutes les parties ensemble : on apareille, et il en émerge néessairement une paradigmatique nouvelle (théorie de l'auto-organisation critique, et des catastrophes) selon la nomologie (ensemble des règles et lois juridico-scientifiques) nouvelle;

Toutefois, plus il y a de parties, plus l'émergence prend du temps. L'intérêt est donc d'expériementer sur des agoras réduites.

Or - comme tu le soulignes - une promo représente un bassin d'une centaine de compétences, expériences, relations mutuelles qui se retrouvent "55 ans après" : il me paraît qu'elle a la maturité pour, non pas en débattre, mais en apprendre en restreint les uns des autres autres, et peut-être aider en général.

Par ailleurs, quand tu es costaud, tu as de la puissance. Mais si tu crées un groupe organisé de costauds, tu en tires un pouvoir.

du pouvoir/devoir sociétal

Or nous sommes une somme de puissances sociétales diffuses, issues de nos noèses individuelles (capacité de penser) due à notre formation et à notre contexte communs. Je pense que, ensemble, nous avons une capacité de "co-noèse", de penser-ensemble. Là notre puissance devient un pouvoir de fait, pouvoir d'énnoncer un apport utile au futur. Qui dit pouvoir dit devoir.

Le devoir qui nous réunis est de con-réfléchir (confléchir) entre nous (circonfléchir) sur la manière dont notre expérience navale de collectifs structurés (navire, flottille, PA, interallié) peut et doit apporter à la manière de traiter l'incertitude (ce qu'est en fait la complexité au point d'apparaitre comme un chaos) dans le contexte diginumérique de la société actuelle (promo, famille, entreprise, nation), parce que nous pouvons le discuter, l'expérimenter et l'inter-apprendre diginumériquement entre nous.

Simplement parce que nous avons entre nous plus d’atomes mentaux crochus que des foules au hasard (ochlocratie). Et donc que nous correspondons à un espace d'échange de travail préoptimisé, et encore capables d'armer nos "e-canots".

Je crois que c'est cette capacité de travail en cercles d’expertises numériques de culture et expérience communes, hors des contraintes budgétisées des autres environnements de recherche qui donne au "hors murs" http://frhm.fr/index.php/La_science_citoyenne_%C3%A0_l%27%C3%A8re_de_l%E2%80%99Internet sa capacité de progrès et innovation "inaccessible" aux autres contextes de recherche.

A commencer par l'analyse des pré-requis humanumériques (collusions cerveaux/machines) que nous avons à vivre (et pas seulement calculer) en commun avec nos "plus machina".

C'est pour cela que nous devons passer de la raison logique supportée par la machine de Turing, à la raison numérique où le modèle naturel de référence n'est plus une "synapse de calcul oui/non", mais des qualia (ce qui est ressenti) et des mèmes (embryons de pensée) pour se mmattre empathiquement "se mettre à la place" de ce qui décide, et comprendre comment il peut être aidé/remplacé par un cobot numérique.